Ne vous laissez pas submerger par la misère et la violence du monde entier

Un terrible attentat au Moyen-Orient, une tuerie sanglante aux Etats-Unis. Un meurtre macabre dans le pays voisin, un procès pour viol en Finlande. Un grave accident en Egypte, la guerre en Syrie. Une arnaque à l’assurance pas loin, un crash boursier là bas, une injustice affligeante. La tension qui monte entre ces deux pays. Un divorce de célébrités, la bêtise d’une autre, et les tensions raciales qui couvent. Un licenciement abusif, un inceste, ……………………. la liste est sans fin.

Les news nous rendent malheureux
Aujourd’hui, la misère nous est rapportée des quatre coins du monde. Et ce n’est évidemment pas sans conséquences sur notre niveau de bonheur.

Les informations qui nous sont proposées ne sont pas objectives

Faites le compte: dans votre journal favoris ou lors des informations télévisées, combien de nouvelles négatives? Et combien de positives? Aujourd’hui, sur la page d’accueil d’un fameux journal gratuit, j’en suis à 14 contre 5! 14 nouvelles du monde à connotation clairement négative voir horrible, contre 5 positives. En classant le sport et une publicité pour smartphone déguisée en articles dans une catégorie à part. Dans cet exemple plutôt représentatif, on nous propose 3x plus de nouvelles négatives que positives, et c’est un vrai problème.

Pourquoi les journaux publient-ils plus de nouvelles négatives?

Comme expliqué dans cet article, il semblerait que notre héritage préhistorique lié à notre instinct de survie nous rende, aujourd’hui encore, 3 à 5 fois plus sensibles aux éléments négatifs qu’aux positifs. Même si notre survie est aujourd’hui infiniment moins en danger qu’à la préhistoire, notre adaptation prendra encore de nombreuses années. Le fait est que nous sommes bien plus sensibles aux drames, et donc tentés d’acheter bien plus de journaux faisant mention de négatif. Les « journalistes », qui l’ont bien compris, répondent donc à cette demande pour augmenter leur chiffre d’affaire au détriment de l’objectivité de l’information rapportée.

Un shoot journalier de malheur

Si vous lisez fréquemment les news, comme une bonne partie de la population, vous avez donc quotidiennement une décharge d’émotions négatives qui déciment votre capital d’émotions positives. Car souvenez-vous, être 5 fois plus sensible au négatif signifie qu’il faut 5 émotions positives pour contrebalancer 1 seule émotion négative d’intensité similaire. Difficile de rester heureux dans ces conditions.

Une perception biaisée du monde extérieur

De plus, à force de lire ou voir ces informations, nous sommes conditionnés à croire que le monde extérieur est bien plus sombre qu’il ne l’est en réalité. Nous perdons nous aussi en objectivité, par exemple jusqu’à être parfois persuadé que les étrangers sont en grande partie des meurtriers et des voleurs. La dernière campagne présidentielle américaine en est sans doute l’un des meilleurs exemples. La responsabilité des vecteurs d’information est quasi-criminelle lorsqu’on en arrive à un tel extrême, d’où l’importance d’une information de qualité.

Protégez-vous et soyez plus heureux!

Franchement, quel est l’intérêt de savoir que tel drame a eu lieux à l’autre bout de la terre? Grâce à la mondialisation, certains journalistes ont désormais la « chance » d’avoir un nouveau drame à vendre tous les jours. Mais ne vivions-nous pas mieux avant? De plus, ce genre d’information nous est profondément inutile car nous sommes la plupart du temps impuissant. C’est du pur divertissement masochiste d’un point du vue du capital suprême.

Que faire alors? Premièrement en prendre conscience: lorsque vous lisez un journal, parcourez les titres et « sautez » les articles négatifs qui ne vous apporteront rien (tous les faits divers en général). Deuxièmement, lire de temps en temps des articles de qualité. J’ose ici citer le Courrier International et le Monde diplomatique qui sont pour moi des références francophones. Lorsqu’on lit les articles de ces journaux, pas seulement factuels mais présentant aussi une analyse (le vrai travail du journaliste), on apprend réellement quelque chose. Ce n’est plus seulement un divertissement, c’est un apport de Sens! Si vous avez en plus du plaisir à lire ce genre d’article, alors vous deviendrez tout simplement un peu plus heureux!

Lire un bon journal rend heureux
Lire un vrai bon article comporte beaucoup de Sens! Et si vous y prenez du plaisir, alors il vous rendra carrément plus heureux!

Et vous, êtes vous capables de « sauter » les faites divers négatifs ou votre instinct prend-il le dessus? Si vous souhaitez être plus heureux ou que le monde extérieur vous fait un peu peur, il serait peut-être temps de commencer à le faire 😉

Une autre façon d’écrire sur betterme.ch: 3 raisons de ne plus lire les news

Et pour enfin savoir si les étrangers sont réellement plus criminels que la population native: Immigration et délinquance : l’enquête qui dérange

Je suis peut-être en train de me diriger tout droit vers l’échec suprême!

Il me semble que depuis les débuts du capitalisme, « être heureux » a peu à peu été remplacé par « réussir sa vie ». Ce qui a l’avantage d’être moins clair et donc nettement plus propice à la consommation, à l’économie, à la croissance, bref, à l’idéologie capitaliste (curieux hasard non?). En effet, aujourd’hui une grande partie de la population souhaite « réussir » car c’est l’idéal qui nous a été vendu et qui a fini par nous conditionner. Alors que la notion d' »être heureux » a nettement moins la cote. Le problème c’est que la vraie réussite, la « réussite suprême », le but et la condition de la vie, c’est bien être heureux. Alors que la « réussite » au sens capitaliste qui consiste généralement en l’accumulation de richesses, ne rend, elle, pas heureux du tout, car elle manque cruellement de Sens.

Malheureusement, pris dans cette course effrénée vers cette « réussite » nous forçant à travailler beaucoup pour gagner le plus possible, et croulant sous les innombrables divertissements le peu de temps libre restant, nous n’avons souvent pas le temps de nous poser ces questions. Ou nous nous sommes tellement investis et sacrifiés pour cette « réussite » que nous refusons, souvent inconsciemment, de faire cette remise en question pourtant essentielle. Comment convaincre alors d’enfin s’arrêter un moment pour se poser les bonnes questions? Peut-être grâce à l’identification personnelle!

Réussir sa vie, bonheur

Voici une affiche qui permet de s’identifier clairement. Serez-vous capable de l’imprimer et l’afficher dans un endroit utile?

lire plus…

Trouvez vos valeurs et donnez un sens à votre vie

On le sait et c’est prouvé, pour être heureux il faut que notre vie nous procure du plaisir (facile), mais aussi du sens. Pas besoin de grosses explications concernant le plaisir, facilement reconnaissable par la joie qu’il procure instantanément. Tout le monde sait ce qu’il aime faire. Il est peut-être néanmoins intéressant de rappeler que, moyennant un petit travail personnel, on peut trouver plus de plaisir et bien plus souvent dans les petites choses gratuites de la vie, que dans les grosses dépenses (vacances, voiture, etc.).

Bon, pour le plaisir je pense que c’est clair. Et pour le sens alors? C’est quoi? Et on fait comment?

Défense du climat

Pour donner un sens à sa vie, il faut agir en accord avec ses valeurs.

lire plus…

La décroissance, c’est pas grave!

La croissance ne rend plus heureux

Le Produit Intérieur Brut (PIB) est inventé en 1934 afin de mesurer l’impact de l’énorme krach de 1929 sur l’économie américaine. Il permet de « quantifier la valeur totale de la production de richesse effectuée dans un pays », et donc de mesurer sa croissance économique.

A partir de là, on a supposé pendant plusieurs décennies que plus le PIB augmentait, plus les citoyens devenaient riches et donc heureux. La croissance économique est alors devenue la priorité absolue de notre société. Mais en 1974, l’économiste Richard Easterlin montre que, malgré une croissance soutenue dans les décennies précédentes, le sentiment de bien-être de la population avait stagné. On l’observe d’autant mieux aujourd’hui:

Bonheur argent

La croissance économique ne rend plus heureux, au moins depuis les années 70. (source*)

lire plus…

Quelles sont vos forces?

Dans son livre Comment devenir un optimiste contagieux*, Sean Achor, disciple de Tal Ben-Shahar qui s’est lui plus orienté vers les bénéfices du capital suprême dans le monde professionnel, rappelle qu’un un bon moyen d’augmenter son bonheur est d’utiliser ses forces et compétences propres. En effet, utiliser ses aptitudes personnelles nous procure un sentiment de satisfaction et d’utilité mêlant souvent plaisir & sens. Quoi de mieux alors pour être un peu plus heureux! Mais sommes-nous bien conscients de tous nos dons? Voici un questionnaire qui permet d’y voir un peu plus clair.

Compétences et forces

Quelles sont vos forces? Moi, il semblerait que j’aie entre-autres appris à reconnaître la beauté. Par exemple dans notre société, qui offre une aide et les mêmes droits aux handicapés, les accepte. Elle propose aussi des transports publics efficaces, ponctuels, beaux, propres et malgré tout bon marché. C’est beau non?

« Tout le monde a un don particulier: Vous êtes d’excellent conseil, ou génial avec les jeunes enfants, ou encore vous faites des crêpes à la myrtille à tomber par terre. Chaque fois que nous utilisons une aptitude, quelle qu’elle soit, nous avons un accès de positivité. Vous avez le moral qui flanche? Exploitez un talent auquel vous n’avez pas fait appel depuis un moment. »*

lire plus…

Cette année, devenez le capitaine de votre vie!

« MOI *votre prénom*, JE SUIS LE/LA CAPITAINE DE MA VIE! »

Dites le à haute voix, maintenant, avant d’en lire plus! L’avez-vous fait avec conviction? En général avez-vous plutôt l’impression de vivre, ou de survivre? Tournez-vous dans votre métro-boulot-dodo propre ? Gagner de l’argent, puis le dépenser en distractions, en regagner, le re-dépenser, en boucle. Tout ceci manque un peu de Sens non ?

Vous sentez-vous réellement libre? Qu’est-ce que ça veut dire d’ailleurs « être libre »? Bien sûr la vie en société nous impose quelques règles, mais « être libre » ne signifie pas l’absence de règles ou pouvoir faire n’importe quoi. « Etre libre » ce serait plutôt faire ce que l’on veut vraiment, ce qui est profondément important pour nous. Agir dans le sens de nos valeurs!

Malheureusement, nous sommes souvent encombrés par notre travail et nos différentes occupations et objets qui nuisent à notre liberté: nous ne vivons plus vraiment, nous survivons. Mieux que toutes les résolutions partielles que vous pourriez prendre pour cette nouvelle année, pourquoi ne pas adopter directement la résolution suprême : cette année, je vais être plus heureux en devenant réellement le capitaine de ma vie!

Break dance
Aujourd’hui, êtes-vous aussi libre que ce danseur? Regardez son visage…
lire plus…

Pour Noël, offrez plutôt une expérience

Noël approche, et j’espère que vous avez pris le temps de vous émerveiller de la neige, du calme, du froid, de la beauté cette nature endormie et des décorations lumineuses. Il ne vous reste peut-être plus qu’à acheter des cadeaux à offrir à votre entourage et tout sera parfait. Mais justement, quoi offrir? Une chose est sûre, si votre but est de rendre heureux, vous devriez choisir d’offrir une expérience plutôt qu’un objet.

Bonheur offrir expérience cadeau
Balade et pique-nique entre amis, une idée d’expérience à offrir parmi d’autres.

Pourquoi préférer offrir une expérience?

En effet, offrir une expérience plutôt qu’un objet présente de nombreux avantage du point de vue du capital suprême (= bonheur):

  • Une expérience a le plus souvent bien plus d’impact émotionnel qu’un objet: on la vit, on la ressent, ce qui augmente bien plus notre niveau de bonheur.
  • En plus, offrir une expérience nécessite de considérer d’avantage les goûts de la personne pour être sûr de lui faire plaisir, ce qui la touche bien d’avantage et augmente d’autant plus l’impact émotionnel.
  • Une expérience implique très souvent un partage. Que ce soit directement avec la personne qui l’a offerte ou non, le contact humain est là, et il est toujours porteur de sens et donc vecteur de bonheur.
  • On se souvient bien plus d’une belle expérience que d’avoir reçu n’importe quel objet. Ces souvenirs positifs restent encrés en nous pendant longtemps, et rien que le fait d’y repenser nous procure de la joie. Beau cadeau non?
  • On évite d’offrir un objet inutile qui va prendre la poussière sur une étagère et qui va coûter physiquement et moralement à la personne (voir Le coût réel du matériel).
  • Finalement, on évite de participer au conditionnent de la personne en associant faussement matériel et « bonheur », ce qui lui est bénéfique et lutte contre l’ultra-consumérisme responsable de la dégradation de notre environnement (voir Le coût réel du matériel). C’est malheureusement d’autant plus vrai pour les enfants.

Bien: comment pourrais-je faire passer un bon moment à cette personne?

Autant il suffit de se promener dans un magasin pour se voir proposer des milliers d’objets à offrir, autant proposer une expérience requiert de connaître la personne et de se demander ce qui lui ferait réellement plaisir. Ce qui demande un tout petit peu plus d’énergie, mais en fait en général un bien meilleur cadeau.

Lorsqu’on pense expérience, on pense souvent smartbox. Elle a l’avantage d’être une solution simple et déjà bien plus positive qu’un objet, bien qu’un peu impersonnelle. Elle fera certainement très plaisir si elle correspond aux goûts de la personne. Mais en général, elle présente un défaut majeur: vous n’êtes pas inclus dans l’expérience! Loin de moi l’idée de profiter de faire un cadeau à quelqu’un pour vous en faire un à vous-même par la même occasion, mais si cette personne est un proche ou un amis, quoi de mieux que de partager ce moment ensemble? On en vient donc à la question suivante:

Mieux: comment pourrais-je passer un bon moment avec cette personne?

Pour moi il n’y a rien de mieux: offrir une expérience mais aussi son temps, et renforcer ses liens avec un nouveau vécu et de nouveaux souvenirs. Cela semble évident, aucun objet ne peut rendre aussi heureux! Voici quelques exemples:

  • Organiser une balade dans la nature avec pique-nique rustique entre amis (photo ci-dessus).
  • Faire le marché ensemble puis préparer et partager un bon repas avec les aliments ramenés (ci-dessous).
  • Organiser une randonnée en raquettes et finir avec une bonne fondue.
  • Aller faire une dégustation d’un aliment dont on partage l’intérêt, ensemble.
  • Aller à un concert ou au théâtre.
  • Organiser une journée de ski, ou de luge.
  • Passer la nuit dans un bel endroit avec son partenaire, par exemple à la montagne.
Offrir expérience bonheur
Aller au marché, faire un gaspacho avec les légumes achetés et le partager, ensemble. Une idée d’expérience à offrir parmi d’autres 🙂

Qu’est-ce qu’il/elle aime ou aimerait faire? Qu’est-ce que j’aime ou aimerais faire? Ou encore: qu’est-ce que nous pourrions faire ensemble d’un peu original qui nous plairait aux deux (ou plus) et nous permettrait de passer un bon moment?

La présentation

Une fois la bonne idée trouvée, il reste un problème avec les expériences: la présentation. Comment faire pour l’annoncer à la personne? Simplement le lui dire n’est pas très valorisant, il manque quelque chose de palpable pour faire face à tous ces autres paquets bariolés qui l’entourent. Heureusement, il y a une solution toute simple: une jolie carte!

Personnellement, j’imprime lorsque c’est possible, une photo personnelle sur un format carte postale (quoi de plus personnalisé qu’une carte unique au monde) avec un petit mot sympathique et les détails de l’expérience offerte au dos. Libre à vous de faire une carte comme bon vous semble et de la présenter dans une enveloppe, une jolie carte du commerce peut aussi faire l’affaire.

Les expériences, c’est pas non plus pour tout le monde

Comme toujours, méfiez vous des extrêmes et ne commencez pas à « priver » tout votre entourage de matériel même si ce serait certainement dans notre intérêt à tous. Certaines personnes, souvent des enfant, rêvent de recevoir tel objet pour Noël. Après tout, elles ont été conditionnées à croire que c’est le but ultime et pourraient être très tristes si vous leur offriez quoique ce soit d’autre à la place. Se déconditionner et apprendre à profiter pleinement d’une expérience ça s’apprend, et ça prend du temps. Si vous y tenez vraiment, vous pourriez néanmoins tenter de faire un compromis mi-objet, mi-expérience, afin de permettre une transition en douceur.

Partager une belle expérience, le cadeau suprême!

Partager une belle expérience, c’est le cadeau suprême: offrir du bonheur à la personne! Ce n’est pas nécessairement cher ou compliqué, il faut juste prendre le temps de penser à elle, et s’organiser un minimum. Mais vous aurez ensuite peut-être la chance qu’elle vous avoue que votre cadeau, c’était vraiment le meilleur. Evidemment, il lui a apporté bien plus de bonheur!

Et vous? Vous offrez souvent des expériences? Quelles sont vos plus belles réussites?

N’étant pas sûr d’avoir le bonheur d’écrire un nouvel article avant Noël, je vous souhaite de joyeuses et surtout heureuses fêtes! Un grand merci pour votre lecture!

Un article différent sur le même sujet sur toujoursmoinstoujoursmieux.com.

Un site avec pein d’idées d’expériences à offrir: zeit-statt-zeug

Travailler moins pour vivre plus!

Souvenez-vous, l’ancien président français clamait haut et fort qu’il fallait « travailler plus pour gagner plus »! Ce but, gagner plus, semble tout à fait louable si l’on croit que l’argent fait le bonheur. En effet, le sous-entendu est alors « travailler plus pour être plus heureux », ce que nous souhaitons tous. Or nous savons maintenant que ce n’est pas si simple.

L'argent ne fait pas le bonheur

Nicolas Sarkozy, président de la fausse croyance concernant le bonheur?

lire plus…

Minimalism, le film

Vous avez certainement déjà vu ces vidéos de black friday (vendredi des soldes) américains: une foule se presse et se bouscule devant l’entrée d’une grande surface en attendant son ouverture. Ils sont tous là pour profiter des promotions record, seulement aujourd’hui et jusqu’à épuisement du stock! C’est l’heure, les portes s’ouvrent et la foule s’engouffre, prend d’assaut le magasin en arrachant les détecteurs de vol au passage. A l’intérieur c’est la guerre, on se bat pour attraper le plus d’objets, on s’insulte, se traîne à terre, se piétine, etc. (voir la vidéo plus bas).

Consommer ne rend pas heureux

Lors des black friday, les gens deviennent fou pour une télé! (extrait du film « Minimalism »)

Et bien profitez, car c’est peut-être les dernières fois que ça arrive!

lire plus…

Trouvez une excuse aux cons et percevez un monde meilleur!

Je dois vous l’avouer, j’ai énormément de plaisir à trouver certains titres! Bref, comme vous le savez certainement si vous avez lu les précédents articles, notre sentiment de bien-être et de sérénité (pour ceux qui n’aiment pas utiliser le terme « bonheur »), dépend en partie de notre manière de percevoir notre environnement. Or, s’il y a bien quelque chose qui nous exaspère, c’est les cons! Je parle de toutes ces petites incivilités, que ce soit en voiture, sur internet, à la télévision, ou même parfois dans la rue. Qui n’a jamais été remonté contre ce type qui nous dépasse sur l’autoroute à une vitesse déraisonnable, ou se rabat juste devant notre capot? Voici deux manière de réagir qui impactent très différemment notre niveau de bonheur.

Bonheur et incivilités
Les cons sont nombreux sur la route, mais il y a plusieurs manières de les percevoir. Photo Mike Buedel
lire plus…