Heureux.se ?

Que voulons-nous vraiment ? Quel est notre but ? Avons-nous seulement déjà eu le temps d’y penser, réellement ? Pour certain.es c’est la richesse matérielle ; posséder tout ce que l’on désire. Pour d’autres le pouvoir ou la célébrité, être valorisé.e, ou aimé.e. Mais… pourquoi ?

« … parce que comme ça… je serai plus heureux.se ? »

Bienvenue sur capitalsuprême.com, le site qui tente de remettre le Bonheur au centre, et le capital financier… à sa place.

Ce que nous voulons tous, au fond, c’est simplement être heureux.ses !

Vous, au fond, quel est votre but ? Pourquoi ?

Parfois nous n’avons simplement pas de but, nous ne nous posons simplement pas ces questions. Nous nous contentons de vivre, passivement, de suivre ce que la société nous dit de faire ou nous vend comme idéal.  Il y a déjà tant de choses auxquelles il faut penser, nous n’avons pas le temps ! Mais tôt ou tard nous ressentons un vide, il nous manque quelque chose. Nous ne vivons pas vraiment, nous survivons. Nous ne sommes plus maîtres de notre vie, nous la subissons. Et ceci nous rend malheureux car nous ne vivons pas en accord avec nos valeurs, il nous manque du Sens.

Projetez-vous dans le futur

Une autre manière intéressante de mieux comprendre les choses est de se projeter dans le futur: Imaginez-vous à l’âge de la retraite (pour celles et ceux qui ne le sont pas). Vous avez vécu toute votre vie comme vous l’avez fait jusqu’ici, et maintenant que vous avez enfin le temps de réfléchir, vous regarder derrière vous. Que voyez-vous ? Etes-vous fier.e de ce que vous avez fait? Réellement et profondément ? Avez-vous agis selon vos Valeurs ? Fait ce qui était profondément important pour vous ? Avez-vous eu une vie pleine de Sens ?

Si ce n’est pas le cas vous devez trouver cela bien dommage, non ? Ma vie n’a au final pas servi à grand chose, je me suis contenté de vivre dans mon coin alors que j’aurais pu faire des choses qui ont un peu plus de sens pour moi, cette vie aurait pu être plus belle…

Nous voulons tous améliorer le monde, juste un tout petit peu, à notre échelle. Bonne nouvelle, ce n’est pas trop tard, et cela rend heureux !

Bon d’accord, nous voulons toutes et tous être heureuses et heureux, c’est évident. Mais alors, comment fait-on ?

Réfléchir à sa vie

Au crépuscule de sa vie, on a enfin le temps. Ce n’est pas trop tard pour réfléchir à son existence, mais mieux vaut quand même un peu avant.

Apprendre à être heureux ?

Deuxième bonne nouvelle, en 1998, Martin Seligman est élu président de l’association américaine de psychologie (APA). Il propose alors que les chercheurs et chercheuses ne s’intéressent plus seulement aux personnes ayant de graves troubles mentaux comme c’était la coutume jusqu’alors, mais aussi de se pencher sur la population dite « normale », dont beaucoup se sentent mal dans leur peau, sont victime de dépressions, ou parfois même se suicident. La psychologie positive était née !* S’en est suivi une vaste considération de ce sujet par la communauté scientifique internationale, dont les résultats les plus intéressants sont disponibles depuis quelques années seulement.

Parmi eux il y a Tal Ben-Shahar qui, après être devenu champion national de squash et avoir remarqué que cela ne l’avait pas rendu heureux, a décidé de consacrer sa vie à la recherche des conditions du bonheur.

Son premier et peut-être plus important constat, est que nous donnons bien trop d’importance au capital (argent et richesse matérielle), ce qui nuit à ce qu’il appelle par opposition le « capital suprême », à savoir le bonheur, et qui a donnée son nom à ce site internet.

En effet, et d’après de multiples autres auteurs, l’argent est nécessaire uniquement afin de pouvoir satisfaire ses besoins matériels primaires, à savoir se loger et se nourrir. Tout le reste n’est donc pas nécessaire à être plus heureux. Pour clarifier tout ça, voici un petit diagramme explicatif :

Le vrai chemin au capital suprême, au bonheur, c’est d’avoir du plaisir et du Sens dans sa vie! Tout le reste n’y mène pas.

Découvrir le capital suprême >>

*Mes excuses pour cette imprécision nécessaire.